Articles et Revues des évènements de la MJC
Vous trouverez ici des revues des différents évènements s’étant déroulés à la MJC du Mont Gargan. Vous pourrez ainsi es revivre. Ces évènements peuvent aussi bien être liés au Centre de Loisirs, aux animations locales, aux Loisirs Tout Public, mais également être des pièces de théâtre, concerts, conférences, expositions…
Culture : Exposition de sculptures « Forever and Ever », par Ilyès Mazari | 22 juillet 2023
FOREVER AND EVER est une exposition artistique mise en place par l’artiste plasticien et sculpteur Ilyès Mazari. L’exposition présente des sculptures fabriquées par les habitants du quartier. Ces monuments miniatures avaient pour objectif de mettre à l’honneur un sujet qui tenait au coeur de son créateur. Retrouvez dans cette galerie l’ensemble des créations qui ont été effectuées au sein de la MJC, entre le 10 et le 22 juillet 2023 !
Loisirs tout public : Made-in MJC 2022-2023 | 26 & 27 Juin 2023
Les lundi 26 et mardi 27 juin 2023, les différents intervenants de la MJC du Mont Gargan se sont réunis pour leur sorties d’atelier respectives. Fanny Duc, Praveen Shandilya, Marion Casabianca et Claire Latinier ont travaillé avec leurs élèves (enfants, ados comme adultes !) pour nous présenter le fruit de leur travail.
Nous vous présentons aujourd’hui un condensé de ces spectacles.
26 juin | Baby Gym – Fanny Duc
27 juin | Comédie Musicale – Marion Casabianca
27 juin | Danse Modern Jazz (Enfants) – Praveen Shandilya
27 juin | Danse Modern Jazz (Adultes) – Praveen Shandilya
27 juin | Théâtre d’improvisation (Enfants & Ados) – Claire Latinier
27 juin | Danse Bollywood – Praveen Shandilya
Culture : Conférence sur les noms des rues de Rouens, par Franck Adam de Rouen en Couleurs | 12 mai 2023
Revenons sur la conférence de Franck Adam, qui met en lumière l’origine des noms des rues de Rouen.
Franck Adam, vous le connaissez sûrement déjà si vous écoutez régulièrement notre radio. Cet ancien professeur d’histoire, désormais retraité, a choisi de devenir animateur culturel indépendant, et a donc créé Rouen en Couleurs : un moyen pour lui de partager son amour du passé.
Le 12 mai 2023, Franck nous à nouveau fait part de son savoir en expliquant d’où viennent les noms des rues de notre ville : une façon d’évoquer les centaines d’années d’histoire que la capitale normande a traversé.
Revenons ainsi sur certaines d’entre elles. Tout d’abord, nous avons les rues nommées d’après des évènements. La révolution française a amené son lot de noms : la rue Diderot, la rue Voltaire, la rue du Contrat Social…. De même, la Première Guerre Mondiale en a amené d’autres : le boulevard de la Marne, celui des Belges, ainsi que ceux de Verdun et de l’Isère. Et pour la Seconde Guerre Mondiale, nous avons la place Charles de Gaulle, l’avenue des Canadiens…
Puis, nous avons les commerces : la rue Harenguerie était le lieu de vente des poissonniers, tandis que la rue aux Fèvres était là où logeaient les orfèvres. Et bien-sûr, n’oublions pas la rue aux Ours « Hou », que l’on prononce à tort « Hoursse ». Pourtant, elle n’est pas nommée d’après les pairs de ce personnage de Bonne Nuit les Petits, mais bien d’après les oies, qui autrefois s’écrivaient « ouës ».
Bien-sûr, n’oublions pas la rue Royale, qui a changé de nom comme on retourne sa chemise (mais toujours du bon côté), en fonction des régimes politiques : elle est par la suite devenue la rue Impériale… Mais de nos jours, nous la connaissons en tant que rue de la République.
Et que diriez-vous d’une rue Achille Flaubert, qui porte le nom d’un médecin qui s’avérait être le père de Gustave ? Non ? Alors la rue des Frères Nicolle vous intéressera peut-être plus, puisqu’elle est baptisée d’après Charles ainsi que Maurice, célèbres frères médecins, mais dont le second est resté dans l’ombre de son frère cadet.
Concluons avec la cité Jeanne d’Arc, dont les noms de rue font tous écho à des lieux ou personnes ayant eu de l’importance dans la vie de cette combattante : des rues nommées d’après divers Saints, la rue de Reims, et bien-sûr la rue Domrémy [dɔ̃.ʁe.mi].
Cette conférence, en plus d’être intéressante tant pour ses aspects historiques, culturels que linguistiques, était également amusante, et ce grâce aux traits d’humour de Franck. L’évènement a été très apprécié par le public qui s’est montré nombreux ce soir-là.
Nous remercions chaleureusement Franck Adam pour avoir partagé avec nous ce qu’il sait, et nous continuerons de le suivre dans son aventure !
Centre de loisirs : Forum des Arts | 21 avril 2023
Le vendredi 21 avril 2023, l’équipe des animateurs de la MJC a organisé une exposition. Celle-ci, sobrement baptisée « Forum des Arts », a été mise en place tout au long de la semaine avec l’aide des enfants du Centre de Loisirs des 6-11 ans – durant les vacances de printemps 2023. Tandis que les enfants ont pu découvrir les 7 arts traditionnels (théâtre, architecture, sculpture, musique, arts visuels, cinéma et littérature), les adultes ont pu découvrir les productions de ces-derniers.
Au total, c’est un spectacle, ainsi que deux galeries (sculptures et tableaux) qui ont été présentés. Retrouvez ci-dessous l’intégralité de l’exposition.
Le Spectacle
La Salle des Tableaux
La Salle des Sculptures
Culture : « Chap’impro », par Particules | 14 avril 2023
Le vendredi 14 avril 2023, l’association Particules avec qui nous sommes partenaires a joué un spectacle. Cette sortie de chantier a la particularité d’avoir été jouée par la troupe amatrice qui vient répéter chaque jeudi soir ici, à la MJC du Mont Gargan, et ce depuis déjà deux ans.
Ici, la troupe de Claire Latinier s’est prêtée à l’exercice que l’on nomme « Chap’impro ». Les actrices et acteurs, Louise, Laurence, Arthur, Raphaël et Charles, ont dû piocher des morceaux de papier dans des fedoras. Le morceau pioché donnait alors une indication sur la nature de la scène à jouer.
L’association Particule se décrit tel qui suit, sur son site officiel :
« Pour ses ateliers de formation artistique, Particules applique une pédagogie ouverte et basée sur l’échange.
Le but : que ses artistes-formateurs puissent transmettre les bases de leur savoir-faire, pour permettre aux participants d’apprendre à faire eux-mêmes. Exprimer sa créativité, ça s’apprend !
Comme dans n’importe quelle discipline, il faut comprendre et maîtriser certaines notions, savoir manipuler du matériel spécifique et connaître les codes s’y rapportant. Mais un atelier de pratique artistique est aussi un loisir dans lequel on s’investit pour échanger, partager, créer et s’exprimer. Apprendre sans entreprendre, c’est un peu comme éplucher des carottes sans savoir comment les cuisiner ! »
Vous pourrez de nouveau retrouver le collectif Particules ici à la MJC du Mont Gargan dans le cadre du spectacle « Les Particulières », qui aura lieu du samedi 27 au lundi 29 mai 2023. Vous y retrouverez de nouveaux spectacles d’improvisation, mais également d’autres activités, comme un stage le lundi. Des inscriptions préalables sont nécessaires. Vous retrouverez le programme et les modalités sur le site officiel de l’association.
Comme toujours, la MJC du Mont Gargan est ravie d’accueillir Particules et ses artistes, nous les remercions grandement pour leur venue !
Culture : « Contes africains et brésiliens », par Thierry Lachkar et André Benot (Compagnie des singes) | 31 mars 2023
Le vendredi 31 mars 2023, la MJC du Mont Gargan a accueillir un spectacle sobrement baptisé « Contes musicaux africains et brésiliens », ce qui indique donc leurs origines. Ces contes nous ont été présentés par Thierry Lachkar, acteur et narrateur, et André Benot, chanteur et guitariste.
Thierry Lachkar est membre de la Compagnie des Singes – une troupe originellement fondée en 1990 à Grenoble par lui et Florence Marty, mais s’étant implantée à Rouen en 95. L’artiste a adapté ces contes la même année, alors qu’il s’apprêtait à être diplômé du Conservatoire de Grenoble – cependant, les premières représentations de ce spectacle n’ont eu lieu qu’à partir de 2007. Leur thème commun est le parcours initiatique : nous y suivons des personnages qui empruntent un sentier semé d’embûches, qui finira par les faire évoluer, mais pas nécessairement dans le bon sens… André Benot a accompagné ces contes de chants qu’il a tantôt repris de la culture anglophone et hispanique, comme le chant afro-américain « I shall not be moved », mais aussi quelques chansons qu’il a lui-même écrit. Le guitariste n’a commencé à travailler sur le spectacle qu’à partir de 2023.
Le premier des deux contes est celui du Guinnârou. On y raconte l’histoire d’un père de famille nommé Sabounyouma, qui choisit d’aller cultiver un champ sur le territoire du terrible Guinnârou, le roi des Guinnés. Les comparses de Sabounyouma le mettent en garde, mais celui-ci ignore leurs avertissements. Il se rend donc sur cette terre interdite, située de l’autre côté d’un fleuve. Alors qu’il s’attelle à la création de son champ, Sabounyouma est interpellé par le Guinnârou, qui s’avère vouloir l’aider… Une armée de Guinnés, dotés d’une branche à la place du nez, d’oreilles pointues et de pattes de poulet au lieu des jambes, arrivent alors lui prêter main forte.
Le récit suit alors une routine, semblable aux contes pour enfants, et à raison : c’en est un. Il s’agît à l’origine d’un conte africain, également connu sous le nom de « Le roi des Echos », dont l’objectif est d’effrayer les jeunes enfants, qui ne devaient pas se rendre en terre inconnues sous peine d’y connaître un funeste destin… Il est depuis entré dans le folklore de la culture peul, originaire de l’Afrique de l’ouest.
Le second conte, nommé « Macounaïma », suit le parcours du héros éponyme qui se retrouve banni de son village. Macounaïma est à l’origine le fils abandonné d’un shamane. Son visage est rouge, ses mains blanches et ses pieds noirs. La raison de son bannissement ? Il a embrassé la fille du chef du village qui l’a recueilli, ce qui est un crime. Le jeune garçon se retrouve alors dans une terrifiante forêt, si dangereuse que même les monstres la fuient. Le garçon se retrouve seul, et son unique objectif est survivre. Il finit par être recueilli par un arbre malade… De fil en aiguille, le garçon va finir par se découvrir lui-même.
Ce récit est une réécriture complète par Thierry Lachkar, puisqu’il a été composé à partir de trois contes différents : un portugais, un africain et un brésilien. Ces aspects se retrouvent dans l’apparence de Macounaïma, qui mêle ainsi ces trois origines. Par ailleurs, ce personnage est très célèbre au Brésil, puisque le livre dont il provient, « Macounaïma : le héros sans aucun caractère », a eu droit à une adaptation cinématographique très célèbre, l’un des films brésiliens ayant eu le plus eu de succès dans ce pays.
L’équipe de la MJC du Mont Gargan remercie grandement Thierry Lachkar et André Benot pour leur venue, et nous leurs souhaitons une bonne continuation !
Culture : Exposition « Femmes rouennaises inspirantes » | Mars 2023
Introduction
Vendredi 17 mars, nous avons eu le plaisir d’accueillir Laura Slimani et Aurélie Daniel pour l’inauguration de la 7eme édition de l’exposition « Femmes rouennaises inspirantes ». Elle est destinée à être présentée dans tous les quartiers de Rouen, dans des lieux d’exposition dédiés sur l’espace public. Vous pouvez retrouver l’exposition jusqu’au 24 mars, sur des pancartes placées juste devant l’école primaire Jules Ferry. Cette exposition a été lancée pour la première fois en 2021, juste devant le square Verdrel – où elle retournera à l’occasion de l’Armada 2023.
Lien vers le livret d’exposition 2022 : https://rouen.fr/sites/default/files/publication/mairie_femmes_inspirantes_livret_2022_web_2.pdf
Présentation
Inaugurée pour la première fois à l’occasion des Journées du Matrimoine, cette exposition est conçue par la Ville de Rouen dans le cadre de sa stratégie sur la place des femmes dans l’espace publique. Il s’agît donc de mettre la lumière sur l’histoire de femmes méconnues, qui ont pourtant contribué à notre ville, notre culture et notre pays. Il s’agît d’un moyen de rétablir l’égalité femme-homme en montrant qu’elles aussi ont tenu des places importantes et influentes et, qu’à ce titre, elles méritent d’être reconnues pour leurs accomplissements.
Cette initiative de monsieur le Maire, Nicolas Mayer-Rossignol, s’inscrit dans le cadre des Débats des Mémoires – un projet ayant pour but d’écrire une histoire commune à Rouen, en donnant une place nouvelle à celles et ceux ayant œuvré dans l’ombre pour la ville, et ce qu’importe leurs origines.
Ce débat questionne aussi la place de l’Histoire dans notre patrimoine, mais aussi notre matrimoine, auquel l’exposition porte attention. Il a également vocation à interroger notre devoir vis-à-vis de l’Histoire en général.
De nombreux noms plus ou moins connus (potentiellement car ayant été donnés à des rues, des établissements, etc.) sont ainsi mis à l’honneur dans le livret de cette exposition : Anne-Marie Duboccage, Annie de Pène, Germaine Goujon, Georgette Leblanc, Marguerite Deroux, Suzanne Duchamp, et tant d’autres parmi un total de 68 femmes présentées dans le livret à ce jour.
Actrices et acteurs du projet
Nous remercions les nombreuses personnes ayant contribué à cette exposition.
Aurélie Daniel – animatrice culturelle indépendante. Elle a contribué aux recherches historiques du projet. Elle a épluché de nombreuses sources afin de mettre en lumière les histoires de ces femmes méconnues, dont souvent l’histoire n’a été que peu documentée. Elle s’est également chargée du vernissage, puisqu’elle nous a présenté quelques uns des portraits présents sur les panneaux et dans le livret.
Laura Slimani – adjointe au Maire, en charge de la démocratie locale et participative, de l’égalité femmes-hommes, et lutte contre les discriminations.
Caroline Dutarte – la première adjointe au Maire.
Marie-Andrée Malleville – adjointe au Maire en charge de la culture, du patrimoine et du matrimoine.
Elizabeth Labaye – conseillère municipale déléguée au patrimoine et au matrimoine.
Chloé Argentin – conseillère municipale déléguée en charge de la lutte contre les discriminations et la citoyenneté.
Et évidemment, nous remercions monsieur le Maire, Nicolas Mayer-Rossignol, pour avoir initié ce projet.
Pour finir, nous remercions également les nombreuses personnes ayant suggéré des noms de femmes au comité en charge de l’exposition, afin de les y faire figurer. Ce projet est évolutif et participatif : tout habitant de la métropole est invité à suggérer des noms afin de faire connaître ces femmes inspirantes !
Culture : « Bookiwi », par la Cerise sur le Mot | 21 mars 2023
C’est le mardi 21 mars 2023 qu’a été présentée la pièce « Bookiwi » par Clotilde Debure et Cécile Zurita, de la troupe la Cerise sur le Mot. Ce spectacle, avant tout destiné aux enfants, est encore en cours de création – mais il est déjà très bien abouti ! Sa diffusion n’a pour l’instant lieu que dans des écoles, la représentation ayant eu lieu dans le cadre d’une sortie de résidence.
« Deux comédiennes, deux salopettes bleues, deux semeuses de livres. Bookiwi et Bookiwi jouent avec les livres, dans un langage en mouvements, poétique, visuel et complice… juste pour s’amuser. Avant tout objet, le livre est fait de pages, d’odeurs, de bruits… C’est déjà tout un voyage, avant même de plonger dans son histoire ! Bookiwi et Bookiwi emmènent le spectateur dans une succession de tableaux, poétiques, absurdes et burlesques, où l’imaginaire et le jeu de chacun peuvent se déployer de mille façons. Le livre s’ouvre, se ferme, devient, fait penser à, emmène… dans un autre monde, fait d’émotions et de sens… où le spectateur est invité à voyager vers des destinations ludiques et poétiques. »
Dans cette pièce où tout est bleu – vêtements comme accessoires de scène – le livre est le thème central. Il n’y est pas seulement le support de l’imagination, mais il en est aussi l’objet. Tantôt cheval, oiseau, domino, avion, serviette ou cape, entre les mains de ces deux facétieux personnages que sont Bookiwi et Bookiwi, le livre est en perpétuelle métamorphose.
En plus de son humour simple, burlesque mais efficace, la pièce emprunte également à différents arts du spectacle afin d’amuser son public : danse classique, mime, acrobaties… Et même natation synchronisée ! (Mais on ne vous dira pas comment)
Il s’agît finalement d’une pièce sans prise de tête, qui ne cherche qu’à s’interroger sur le lien que nous entretenons avec les livres. Elle à la fois apaisante et attendrissante, et en effet, elle nous a bel et bien fait voyager et rêver ! Pour une pièce tout en bleu, croyez-moi, vous n’aurez pas un coup de blues en sortant !
L’équipe de la MJC du Mont Gargan remercie grandement les deux comédiennes de la troupe la Cerise sur le Mot d’être venue, et nous leur souhaitons merde pour leurs prochaines représentations.
Culture : « Par les temps qui courent », par le Val de Charles | 10 mars 2023
Le vendredi 10 mars 2023, la MJC du Mont Gargan a hébergé la dixième représentation de la pièce nommée « Par les temps qui courent ». Il s’agît d’une comédie jouée par la compagnie du Val de Charles. Cette pièce de leur propre confection a été écrite et mise en scène par Patricia Guillemain, aussi connue pour d’autres créations comme « L’eau à la louche » et « Je te tiens par la barbichette ».
Dans cette pièce, on y découvre une histoire insolite… « Dans une salle d’attente d’un cabinet médical, une bande de personnages, burlesques et déjantés, patientent depuis bientôt une heure. Chacun évolue dans une époque différente et se confronte, avec perplexité et ébahissement, au mode de vie des autres. L’arrivée d’un médecin plutôt énigmatique ne va rien faire pour les rassurer… Autant en emporte le temps. D’heure en heure, de jour en jour, à la fois le changement nous sublime et nous déconstruit. Mais il y a certaines choses qui, elles, restent inaltérables : le désir et l’amour. »
« Par les temps qui courent » se distingue par son humour absurde, reflet même de l’absurdité dont le genre humain fait preuve. Les spectateurs ont justement apprécié la pièce pour son originalité et son côté farfelu. En 2025, les personnes ne seront plus « de petite taille » : elles auront une « verticalité contrariée » – tout comme les glaces, d’ailleurs. Dans les années 50, nous n’éduquions pas les enfants, nous les dressions – pendant que certaines personnes tentent de sauver les dindes d’un terrible génocide… Et dans les années 70, monsieur Russel, prénommé Jack, tente de vendre au docteur Givaga certains produits à l’efficacité… Certes discutable, mais aux effets secondaires remarquables, surtout au lit.
Féminisme, technologie, mœurs et langage ne sont que quelques exemples des thèmes discutés dans cette pièce qui met en évidence une vérité que l’on oublie souvent : rien n’est jamais véritablement figé dans le temps.
Vous n’avez pas pu assister à la pièce ? Pas de panique, vous pouvez encore aller à l’une des trois dernières représentations : le 31 mars à Belbeuf, le 1er avril à Charleval, et le 15 avril à Bourg-Beaudouin.
L’équipe de la MJC du Mont Gargan remercie grandement la troupe du Val de Charles d’être venue, et nous souhaitons à ses comédiens merde pour leurs prochaines représentations.